Au creux de la vague, une ombrelle nacrée pleine d’incertitude et de mystère se gonfle et se dégonfle au gré du courant.
Son dôme paraissant de verre nous emprisonne dans sa légère danse jusqu’à en être médusé.
Dans son sillage, ondulant sous la mer, une légère chevelure traine vicieusement…
Mais bientôt, le courant la pousse vers la plage, la posant sur le sable avec tact, en douceur, asséchant sa beauté d’un souffle destructeur.